in extremis.
MIGRANTS - «Il en reste onze à sauver». C'est Me Ève Thieffry, l'une des cinq avocats qui défend les jeunes Afghans au Tribunal administratif de Lille en «référé-liberté» depuis ce midi, qui le dit : quatre des 15 Afghans qui pourraient partir pour Kaboul ce soir ont obtenu l'asile, in extremis.