se dégradent.
MANIF - Elles sont trois, elles travaillent dans la VPC, à la préparation des commandes. "C'est physiquement de plus en plus dur. On a beaucoup de problèmes de tendinites aux épaules, on répète toujours les mêmes gestes. Et ils ne veulent pas le passer en accident du travail". Il y a du monde dans le cortège lillois, qui serpente de la porte de Paris à la place de la République, 6.000
pour la police, 8.500 pour les organisateurs. Dans le
cortège (1), ouvriers et enseignants ensemble. Avec un point commun : les conditions de travail se dégradent.